Sainte Germaine (31) en France et dans le Monde

  

C’est à Pibrac, près de Toulouse, que naquit en 1579 Germaine Cousin durant une époque troublée par les guerres de religion et les pillages.


Bien des historiens se sont penchés sur la filiation de Sainte Germaine. Tout ce que l’on peut retenir de toutes ces études, c’est le fait qu’elle est bien née dans la famille Cousin, à la métairie de Mestre Laurens; le domaine et la maison sont encore préservés de nos jours.


L’arbre généalogique faisant état de la filiation de Germaine énumère les noms des personnes de son entourage ayant joué un rôle important durant sa courte existence terrestre.


Dès l’âge de cinq ans, Germaine, orpheline de mère, est rejetée, mal aimée, tenue à l’écart de la famille du fait de sa condition physique - elle est atteinte d’écrouelles ou scrofules - est de plus manchote de sa main droite atrophiée. On sait qu’elle gardait les moutons et faisait l’étonnement du village par sa patience, sa douceur et sa piété. De cette époque datent les premiers miracles qui ont fait sa renommée.


Mort de Germaine

En 1601, Germaine meurt épuisée (elle a 22 ans) ; elle est retrouvée un matin dans la bergerie, morte auprès de ses moutons.


Fait encore non élucidé, elle est enterrée dans l’église de Pibrac.

Cette histoire, telle une légende, aurait bien pu s’arrêter là :


Une enfant sans importance ne laissant pas de famille, ou si peu ; elle n’a rien dit, rien fait d’exceptionnel, n’a rien écrit.

  

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