Sainte Germaine (31) en France et dans le Monde

  

  

En 1700, Jacques de Lespinasse, avocat au parlement de Toulouse, est mandaté par les habitants de Pibrac; il exige de l’Abbé Morel, chargé de l’enquête par Mgr de Colbert, de tenir ses engagements.

L’abbé Morel demande à des chirurgiens d’examiner le corps, toujours intact, de Germaine. Témoignages et contrôles de la conservation du corps

C’est seulement en 1736 que le dossier est acheminé vers Rome par un capucin nommé Constantin de Figeac. Il est porteur de précieux documents (récits des miracles, témoignages, procès-verbaux…)

Trois années plus tard, on est toujours sans nouvelle du dossier. Monsieur du Faur, comte de Pibrac, inquiet de ce retard, écrit une lettre au responsable des Capucins à Rome. Les réponses sont évasives : le dossier est considéré perdu… Déception à Pibrac où les miracles continuent.

Nous sommes maintenant en 1749, l’abbé Galibert est curé de Pibrac.

 Celui-ci encourage son ami, l’abbé Jacques Francès originaire de Cornebarrieu, à écrire la première biographie imprimée relatant la vie de Germaine Cousin. Le 10 septembre 1785, un emprunt de 2500 livres est engagé pour couvrir les frais du procès en béatification. Le dossier est à rédiger à nouveau, sur la base des procès-verbaux de 1661 à 1700 complétés des miracles consignés sur les registres.

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